« Savoir se contenter de ce que l’on a constitue le plus haut degré de bonheur. »
>>> NOTRE SOCIÉTÉ NOUS POUSSE AU CONTRÔLE
La compétition dans le milieu du travail, la réussite scolaire des enfants, les doubles ou triples casquettes des individus dans la société (parentales, professionnelles et amoureuses) nous poussent à vouloir l’excellence.
Nous ne pouvons l’atteindre qu’en nous contraignant, en faisant acte de pouvoir sur nos proches et les événements de la vie.
>>> TROP DE CONTRÔLE EST CONTRE-PRODUCTIF
Ces pressions ont l’effet contraire de celui escompté : à infantiliser notre entourage, celui-ci ne donne pas le meilleur de lui-même puisqu’il est déresponsabilisé.
Nous nous épuisons à vouloir faire à la place des autres, influer sur les événements et perdons de vue l’essentiel : jouer notre propre rôle et accepter la vie comme elle vient.
>>> LE LÂCHER-PRISE ET L’ESSENTIEL
Savoir lâcher prise, faire confiance, faire tomber les murs entre nous et l’existence en cessant de s’opposer, c’est savoir se concentrer sur l’essentiel : être soi, vivre pleinement sa vie sans la voir à travers un filtre de regrets, de rancoeurs, ou de désirs illusoires.
Ces sentiments sont des parasites qui meurent quand nous les oublions.
“Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable ! »
Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.
La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures.
Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites.
Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.
Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.
Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.
Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime.
Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…
Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.
La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.”
« La suprême récompense du travail n’est pas ce qu’il vous permet de gagner, mais ce qu’il vous permet de devenir » – John Ruskin
> UN FACTEUR IMPORTANT pour l’estime de soi
Plusieurs études ont prouvé qu’une personne privée d’activité professionnelle, surtout sur une longue durée, enregistre une baisse notable d’estime de soi, avec même des risques accrus sur la santé, qu’ils soient psychologiques ou physiques (dépression, alcoolisme etc …)
Et malheureusement, plus la période d’inactivité est longue, plus l’estime de soi s’affaiblit : on se sent de moins en moins à la hauteur, incapable de répondre aux exigences du monde du travail, et il est bien difficile de trouver un travail gratifiant, car une personne à faible estime de soi saura moins bien « se vendre » qu’une personne confiante.
> LA VALEUR RÉELLE du TRAVAIL
Ce qui est le plus important dans le travail c’est la dimension symbolique.
Les notions de « reconnaissance de distinction » et « reconnaissance de conformité » sont centrales pour expliquer l’estime de soi au travail.
La reconnaissance de conformité est à l’origine de ce que l’on appelle le sentiment d’appartenance à une entreprise et enfin, du sentiment d’utilité, de la satisfaction que nous éprouvons à bien faire notre tâche.
A RETENIR
>>> TRAVAIL et ESTIME DE SOI
Le travail peut stimuler le meilleur chez nous et permet de nous sentir utile à la communauté.
Ce n’est pas la dimension matérielle (salaire) qui contribue à notre estime de soi.
Les personnes qui ne travaillent pas perdent confiance et estime d’elles-mêmes, petit à petit.
>>> LA RECONNAISSANCE
Quand nous travaillons, nous nous identifions à notre métier et recherchons la reconnaissance de nos pairs, en essayant de bien exécuter notre tâche.
>>> Un travail EN ACCORD AVEC SES VALEURS PERSONNELLES
De nos jours, le monde du travail privilégie le résultat : les salariés doivent donc faire preuve de compétitivité, être performants et ambitieux.
Dans ces conditions, il peut être difficile de s’épanouir.
Travailler peut ainsi dévaloriser certaines personnes si elles sont en décalage avec ces valeurs.
L’estime de soi devient alors très précaire.
« Vous restreindre, vivre petit, ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres. En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres »
Myriam Williamsom pour Nelson Mandela
> L’EFFET PYGMALION
C’est bien connu : le respect suscite le respect, l’irrespect inspire une image du même style ou le sentiment d’être indigne de respect.
> L’EFFET DU RENFORCEMENT POSITIF
L’estime de soi a besoin, pour être soutenue, de signes de confirmation extérieure. Si tout ce que vous faites de bien passait inaperçu, si aucun de vos succès n’attirait de reconnaissance, comment vous sentiriez-vous ?
L’estime de soi se nourrit aussi du réconfort, du souci de l’autre, du soutien extérieur.
Les gens, surtout les enfants, sont très sensibles aux encouragements et aux félicitations.
>>> REFLÉTER UNE IMAGE POSITIVE DE L’AUTRE
On soutien l’estime des autres quand on leur reflète une image positive en témoignant du respect pour ce qu’ils sont et pour leurs qualités.
Inspirez-vous de Pygmalion pour vous convaincre qu’on gagne à respecter et à accorder sa confiance à quelqu’un car, le plus souvent, il souhaitera mériter votre respect et être digne de votre confiance.
>>> SOULIGNER LES BONNES CHOSES
On soutient l’estime des autres quand on valorise leurs réussites et qu’on souligne tout ce qu’il y a de positif dans leur attitude.
Inspirez-vous de la technique du renforcement positif pour renforcer l’image positive de la personne.
Se sentir reconnu et sentir que ses gestes sont appréciés, cela fait plaisir et cela fait du bien à l’estime de soi !
> L’EFFET MIROIR DU DIALOGUE
Une autre façon de soutenir l’estime des autres passe par l’effet miroir du dialogue. L’effet miroir est la réflexion de soi à travers le regard de l’autre, un peu comme si on lui tenait un miroir.
Devant ce miroir tendu, la personne se voit reflétée telle qu’elle est, comprise et en mesure de se comprendre elle-même.
Et se sentir (vraiment) écouté et entendu dans ce qu’on ressent, pouvoir partager ses émotions, être reconnu dans ses sentiments…. admettons-le, cela fait du bien à l’estime de soi.
>>> CONFIRMER et VALIDER LES SENTIMENTS
On soutient l’estime des autres quand on leur permet de s’exprimer librement dans une communication et qu’on valide leurs sentiments.
Tirez parti des clés de la communication empathique pour démontrer un véritable intérêt pour la personne.
Vous lui permettrez de dire et de confirmer son ressenti grâce à une attitude empathique, respectueuse et authentique.
» Tu vis continuellement une fable et tu ne t’en aperçois pas « Hugo Pratt
> Une affaire de conscience
Se sentir coupable est liè à la conscience.
C’est notre conscience qui nous indique si ce que nous faisons est bien ou pas.
Lorsque nous sommes coupables, notre conscience nous avertit que nous agissons en désaccord avec nos propres valeurs.
Si nous ne possédions pas ce code moral, nous pourrions tuer notre prochain sans état d’âme.
> En rapport avec nos agissements
La culpabilité apparait lorsque nos comportements, nos pensées ou nos actions ne coïncident pas avec notre intégrité.
Elle nous signale que nos agissements ne sont pas bons. Ce que nous faisons n’est pas bien ou ce que nous pensons ne correspond pas à notre éthique.
> Les tiraillements de la culpabilité
La culpabilité nous met dans des états émotionnels très inconfortables.
Elle agit en arrière-plan et nous tient sous sa coupe.
C’est un sentiment persistant qui, tant que nous ne l’avons pas analysé, demeure en nous.
> Que regrettons-nous ?
Pour nous débarrasser de notre culpabilité, examinons ce qui nous fait souffrir.
Que regrettons-nous ? Est-ce en rapport à des événements qui auraient dû se passer ?
Soyons réalistes : est-ce que les choses auraient pu vraiment se produire différemment ? La réponse est non.
> Coupables de quoi ?
Pour venir à bout d’une culpabilité malsaine, il faut pouvoir se défaire d’une croyance souvent à l’origine de cette émotion.
Certaines femmes sont par exemple fautives lorsqu’elles reprennent une activité et laissent leur enfant à la crèche.
Elles se croient obligées de s’occuper de leur progéniture au lieu de s’épanouir à travers une activité.
Toutes sortes de pensées encombrantes peuvent ainsi provoquer de la culpabilité.
A RETENIR
>>> ASSUMONS-NOUS
Ne laissons pas la culpabilité malsaine nous mener. Sachons débusquer ce qui a pu la provoquer et reprenons le contrôle de notre vie.
>>> POUR Y VOIR CLAIR
Avons-nous raison d’être coupables ? Sommes-nous responsables de la manière de vivre des autres ? De leur malheur ? Recentrons-nous sur nos véritables
responsabilités : nous sommes responsables de nos actes, de nos paroles, de nos pensées.
>>> DÉPISTONS NOS CROYANCES
Elles sont souvent à l’origine de notre culpabilité. Les croyances n’ont pas de fondement réel et n’existent que dans notre esprit.
>>> ACCEPTONS LE BONHEUR
Les culpabilités malsaines satisfont très souvent un besoin inconscient de se punir.
Autorisons-nous à connaître le bonheur.
Ne soyons plus coupables d’être heureux.
« A pratiquer plusieurs métiers, on ne réussit dans aucun » – Platon
> TRAVAILLER EN ÉQUIPE : VALORISER AUTRUI pour se concentrer
Pour faire confiance aux autres, il faut se faire confiance à soi-même, à ses propres capacités à agir comme un dirigeant.
Il faut aussi avoir suffisamment confiance en soi-même pour abandonner certaines prérogatives et certaines prises de décisions à d’autres et d’exister sans elles.
> APPRENDRE A FAIRE CONFIANCE, A ÉCOUTER, A DÉLÉGUER
Le travail collectif en entreprise, cela s’apprend. IL faut écouter son entourage pour pouvoir mettre en avant les talents de chacun et pour pouvoir déléguer. Cela signifie qu’il faut accepter que les autres fassent mieux, autrement, ou moins bien que nous n’aurions fait, et que nous ne repasserons pas derrière eux, les laissant à leurs responsabilités.
> NON, LA QUANTITÉ DE TRAVAIL N’EST PAS ESSENTIELLE
Faire acte de présence au travail n’est pas une fin en soi. Pourquoi sommes-nous là ?
Quelle est notre mission ?
Il est nécessaire, pour lâcher prise dans la vie professionnelle, de recadrer nos priorités et de nous y consacrer pleinement.
Peu importe le temps de présence effective ou les moyens mis en œuvre, seul importe le travail effectué.
> IL FAUT CESSER DE POURSUIVRE DES MODÈLES INSENSÉS
Vouloir à tout prix tel ou tel emploi, sans forcément en connaître tous les tenants et les aboutissants, au prix de sacrifices déraisonnables, risque de vous faire passer à côté d’autres opportunités insoupçonnées.
Ouvrons grand les yeux et les oreilles ! Soyons vigilants !
En vous adaptant aux opportunités, vous aurez toutes les chances de progresser.
Nos liens sont le fruit de notre imagination. Nous pouvons donc nous en défaire aisément puisqu’ils n’existent pas. Ils ne sont pas réels.
> LE CONTRÔLE D’AUTRUI
Nous voulons parfois contrôler les autres. C’est une forme de lien dont il faut nous libérer. Qu’exigeons-nous des autres ? Pouvons-nous leur accorder notre confiance ?
> APPRENDRE A NOUS OBSERVER
Les liens que nous avons créés sont engendrés par des pensées.
Pour les déceler, il faut prendre du recul par rapport à ces pensées.
C’est en observant nos pensées que nous pouvons les étudier et les remettre en question.
> NOS LIENS NOUS EMPÊCHENT DE NOUS CONNAÎTRE
Lorsque notre mental nous tourmente, c’est que nous laissons les pensées nocives nous gouverner.
Elles nous empêchent d’être nous-même.
Pour nous connaître, nous devons nous libérer de nos liens qui masquent notre vérité profonde.
> SOMMES-NOUS LIBRES ?
Plus nous coupons nos liens, plus nous nous approchons de notre vérité.
Il faut parvenir à nous libérer de tout ce qui nous empêche d’être nous-mêmes.
Nous avançons alors sans filet, en pleine conscience.
Nous sommes seuls maîtres à bord.
C’est cela la vraie liberté : être délesté de tout ce qui nous empêche d’agir et d’être.
Être en bonne santé ne se limite pas à la santé physique ou à l’absence de maladie. Il faut aussi disposer d’une bonne santé mentale, pour gérer tout le stress et tous les aléas de la vie quotidienne.
Le coaching personnel va donc consister à se bâtir une résistance mentale et émotionnelle, ce qui est une étape importante et essentielle.
Chacun, en fonction de son vécu personnel, a ses propres sentiments à propos de la santé : cela dépend de son propre état de santé mais aussi des maladies, parfois mortelles, qui ont pu frapper ses proches. Perdre des êtres chers est une expérience douloureuse qui influe forcément sur l’attitude face à la santé.
Pour préserver sa santé corporelle, on a vu qu’il était plus efficace de se concentrer d’abord sur ce qui fonctionne bien et chercher à mieux l’exploiter ou à l’améliorer.
On a vu toute l’importance de se fixer des objectifs positifs. On a vu que, quels que soient le patrimoine héréditaire et l’air que l’on respire, chacun pouvait prendre une part active dans l’amélioration de l’alimentation et de l’exercice pratiqué…autant d’éléments favorables pour une bonne santé générale présente et future !
Les attitudes que l’on a vis-à-vis de soi-même, des autres et du monde influent grandement sur la capacité à s’adapter aux événements négatifs de la vie.
La philosophie personnelle d’un individu conditionne sa façon de vivre. Il s’avère que la philosophie rationnelle permet à l’individu de moins souffrir de perturbations émotionnelles telles que l’anxiété et la dépression : il est ainsi mieux armé pour résoudre ses propres conflits.
Le client écoute une musique de relaxation agréable et apaisante.
Les capteurs transmettent à l’ordinateur les signaux des ondes cérébrales.
Lorsque l’ordinateur identifie un excès (de l’activité cérébrale), le logiciel va, immédiatement, interrompre la musique le temps d’une micro-seconde.
Cette micro-interruption est tellement courte que l’esprit conscient (beaucoup plus lent que l’inconscient) n’a pas le temps de la percevoir.
Que se passe t-il durant cette micro-interruption ?
L’inconscient (dont une des fonctions consiste à veiller à la stabilité de notre environnement), va immédiatement identifier une modification de l’environnement sonore. En effet, il y avait de la musique et à présent, il n’y en a plus.
En un mot l’inconscient se dit » Tiens, que se passe t-il ? »
Quand la musique s’interrompe, l’inconscient cesse de pratiquer ce qu’il faisait (c’est à dire
son excès), pour se focaliser sur ce nouveau sujet (l’interruption musicale) et identifier ce qui se passe.
Puisqu’il ne se passe rien, sa réponse est la relaxation, puis la musique reprend, et l’environnement sonore redevient stable.
Ainsi l’esprit, qui a appris à ne pas exécuter son excès jusqu’au bout (empreinte traumatique), continue son évolution. Il gomme donc peu à peu cet excès de son comportement, et évacue simultanément le dérèglement qui en découlait (c’est à dire par exemple l’angoisse qui y était liée, ou la nervosité, la difficulté de concentration, ou quoi que soit qui était relié à cette mémoire traumatique).
On ne fait qu’informer le cerveau sur sa propre activité et il poursuit de lui-même, quel que soit son âge et son histoire, son apprentissage et sa réorganisation.
Le Neurofeedback n’est pas un traitement médical. Aucun diagnostic n’est réalisé, aucune prescription n’est effectuée.
Il n’est pas nécessaire d’avoir des problèmes neurologiques, ou psychosomatiques pour bénéficier du neurofeedback même si plus l’aspect fonctionnel de ces problèmes est prononcé, plus les résultats pourront être visibles.
Faire son bilan, c’est faire le point sur soi en terme d’atouts et de lacunes, de points forts et de points faibles.
Pourquoi est-il bon de prendre du recul sur son passé ?
Afin de mieux envisager le futur et l’avenir.
Pourquoi faire son bilan ?
Pour mieux se connaître et donc mieux envisager votre futur.
Sur quoi débouche un bilan personnel et professionnel ?
Il débouche sur la définition d’un ou plusieurs projets professionnels.
Le bilan formation regroupe vos connaissances.
Le bilan professionnel regroupe vos expériences.
L’auto-évaluation personnelle, vos ambitions, votre personnel.
Quelles sont les deux phases du projet professionnel ?
La phase d’analyse, c’est la réflexion.
La phase de synthèse, c’est l’action.
Une auto-évaluation personnelle vous permettra de répondre plus facilement à la question suivante en entretien d’embauche : quels sont vos défauts, quelles sont vos qualités ?